Le protocole de la RTU a été revu afin de limiter la posologie maximale à 80 mg/jour compte-tenu du risque accru d’hospitalisation et de décès au-delà de cette dose par rapport aux autres traitements médicamenteux autorisés.

L’ANSM demande que les patients en cours de traitement qui recevraient des doses supérieures soient revus par leur médecin afin d’initier une réduction progressive de la posologie par paliers pour éviter tout risque de syndrome de sevrage et qu’ils soient suivis de façon rapprochée, jusqu’à stabilisation de la posologie.